❖ Identity Card Nom et Prénom Date de naissance : Age : 25 ans Année scolaire : // Maison choisi : Serpentard Baguette : 19 juillet 1997 Patronus : Un chimpanzé Epouventard : Son père... Animal de compagnie : Une chauve-souris Avatar choisi : Matthew Bomer

❖ It's my history

Je dévalais les escaliers l'esprit totalement vide. Mes pensées étaient un peu occupé par tant de chose. Les yeux perlés de larmes, je sortais dehors, respirait un bon coups. J'essuyais d'un revers de ma manche mes yeux mouillés. Je m'arrêtais un instant, puis reprenait ma marche d'un pas rapide.

Londres était un lieu merveilleux. Mais je n'avais pas le coeur à regarder ce qui m'entourais. En fait, je me questionnais sur l'ensemble de mon existence; comment en être arrivé là ?

J'étais nés dans une famille particulièrement riche. L'élite de la société. Mais je n'étais pas heureux. J'étais en effet le souffre-douleur de la famille. J'étais constamment accusé de tout les mots et j'étais une « déception continuelle » selon mon père. Il faut dire que depuis ma tendre enfance, j'avais été choqué par son favoritisme. Je m'étais donné une mission sans fin: celle de toujours faire le contraire de ce que voudrais mon père. Peu à peu, je lui destinais une haine infini.

Je grandissais. Je me souviens la première fois que j'utilisais ma magie. C'était durant un repas monotone. Mon père m'avait privé de dessert. Ma mère ne se mêlait pas de ça, elle laissait faire. En fait, je me demandais si elle savait que j'existais. Bref, j'étais particulièrement en colère. Je regardais ce gros tas qui était mon petit papa chéris. Puis, sans crier gare, le gâteau s'envolait dans les airs et fonçais sur le visage de mon père. Je me mis à rire. Je fus punis trois mois. Mais cela en avait valut la peine.

Quelques années après, je recevais une lettre. Poudlard. Je souriais. J'allais être loin de cette famille. Enfin, pas tout à fait. Il y aurait mon frère. Mais si cet imbécile de chouchou était un peu lèche-botte sur les bords à force de vouloir piteusement plaire à mes parents, je savais pertinemment que nous ne nous croiserions jamais. Ou pratiquement pas. Peut-être que je l'insulterais quelques fois par jour, ce grand frère de malheur, mais au moins cette ambiance ne serait pas en continu, comme à la maison.

Mes années à Poudlard se passèrent de façon monotone. Entre bonnes notes et punitions. J'étais plutôt apprécié de mes camarades. Mon sourire charmeur avait tôt fait de les conquérir.

À partir de ma quatrième année à Poudlard, je commençais à devenir un vrai tombeur. Avec un ami, on avais fais le pari de sortir avec le plus de filles possible. Et je gagnais assez facilement. Puis en cinquième année, j'ai dragué Emily. Ou plutôt c'est elle qui m'a charmé, tel un joueur de flûte de Hamelin. Le problème, c'est que j'étais tombé amoureux. Ce n'était pas réciproque.

J'abandonnais tout. Tout ces paris. Mes notes baissais beaucoup, tout en restant encore des notes très corrects. Cela devint ma grande période mélancolique. Je me mis à peindre plus que jamais. Je voulais devenir peintre. J'obtins un place importante au ministère. Mon père m'y avait un peu obligé, me lançant milles menaces. J'avais un peu honte d'y avoir cédé, et encore plus d'aimer mon travail finalement.

Puis, par hasard, à une fête, je rencontrais à nouveau Emily. Je parvenais à obtenir un rendez-vous avec elle avec je ne sais quels arguments.

Puis, le mariage. Puis, un enfant; Sarah.

Mais ce que je veux me rappeler par-dessus tout, c'est la dernière fois que je vis mon père. C'était sur son lit de mort.

Emily était parvenu à me convaincre de voir mon père. Juste une dernière fois. Et je dois dire que pour une fois, je me disais que j'allais être gentil, que j'allais lui dire de beaux mensonges. Lui dire qu'il avait été si gentil avec moi durant toute sa vie.

J'arrivais dans sa chambre. Il respirait difficilement, et chaque mots qu'il osait dire semblait le tirer invariablement vers la mort. Il me regarda avec son regard vide et me dit cruellement:

- Ta vie entière n'a été pour moi qu'une déception.

Cela avait été si dur pour lui de dire cette phrase. Il me haïssait donc tant que ça ? Autant que moi je le détestais ? Je fronçais les sourcils, puis je m'emportais:

- Désolé, papa, vois-tu, chaque fois que tu m'as punis, cela a été si juste. Et même si j'ai toujours eut de meilleurs notes que mon frère à Poudlard, c'est qu'en réalité j'ai corrompus les profs pour qu'ils m'en mettent d'excellente. Tu voulais que je te donne un petit-fils au lieu d'une petite-fille. Mais nous savons tout les deux qu'en réalité, à la base, je t'avais donné un petit garçon... mais sournois comme je suis, j'ai échangé les berceaux d'une petite fille avec mon propre fils.

Nous restions silencieux. Seul le cliquetis de l'horloge venait rompre ce silence inquiétant. Je me calmais et répondais finalement d'un ton parfaitement calme:

- Je suis sûr que c'est ce que tu voulais entendre. Je te déteste.

Je partis en claquant violemment la porte. Je ne le reverrais jamais. Ce serait un soulagement immense. Enfin ce vieux crétin dont je n'aurais plus à voir le visage.

Lorsque je sortis dehors, il y avait une violente pluie. Mais je m'en fichais pas mal. Je marchais tranquillement et devenais de plus en plus trempé. En réalité, je ne comprenais pas ces gens qui emportais leur parapluie, qui ne pouvait pas supporter la moindre goutte tombant sur leur tête. Moi, j'adorais le contact de la pluie tombant sur mon visage. J'aimais rentré avec les vêtements complètement trempé par cette eau, toute cette eau.

Quelques années plus tard, je rentrais chez moi. J'étais plutôt content. C'était vendredi. Le week-end s'offrait à moi. Le repos. Ma femme arrivait dans le vestibule et m'embrassait. Ma petite fille Sarah était resté dans le salon à jouer avec sa poupée. En la voyant, je souris. Elle vint me faire un câlin, puis vaqua à ses occupations. Moi je m'asseyais dans mon fauteuil et commençais à lire le journal.

Emily revint de la cuisine, un couteau de cuisine à la main. Du four, on pouvait sentir cette agréable odeur de viande. Je regardais ma femme en souriant:

- Ça sent bon, qu'est-ce que tu nous as cuisiné ?
- Que de très bonne chose, répondit-elle.

Je me replongeais dans mon journal. J'entendis Emily appelé Sarah de venir la voir. En pleine lecture d'un article qui m'intéressait vivement, je ne prêtais pas vraiment attention à ce qui se passait. Certain m'auront reproché de n'avoir rien fait. Ce qu'ils semblent ne pas comprendre, c'est que j'aimais Emily, et que quand on aime quelqu'un, on ne peut pas imaginer cette personne que l'on connaît depuis tant d'année, arriver et zigouiller sa fille. C'est impossible.

Soudain, sans crier gare, ma femme, ma Emily trancha la gorge de ma petite Sarah. Le sang gicla. Je me levais d'un bond et je hurlais comme un sauvage. Comment avait-elle pu me faire cela.

Je me saisissais de ma baguette tandis que ma femme me parlais:

- Elle est si jolie notre petite Sarah, non ? Mais elle a été méchante, il faut l'enfermer dans la cave pendant le reste de sa vie, d'accord ?
- Tais-toi, répondis-je tristement. Si tu m'as déjà aimé, tais-toi.
- Je t'ai toujours aimé, chéri. Je t'aime tellement. Je t'aime, je t'aime, je t'aime comme... comme...
- Avada Kedavra.

Je sortis de la maison, je décidais de me rendre. Je prétendis que j'avais également tué Sarah. Mais une telle affaire ne peux pas être prise à la légère. Surtout quand on a une place importante au ministère. On me fit prendre du veritasum. Ils découvrirent la vérité.

Les années ont passé. J'ai tué quelques personnes depuis. Entre temps, j'ai rejoins les Souleater. J'ai même tué mon propre cousin, Jacob.

Je n'arrive toujours pas à comprendre comment j'en suis arrivé là. Parfois, il n'y a peut-être rien à comprendre.

Je rentrais chez moi, exténué. Puis je m'asseyais et jouais quelques mélodies mélancoliques au piano. Je pense que je commence à comprendre comment je suis devenu ce que je suis...

❖ My physical

Duncan s'est rendu compte assez tardivement de l'effet qu'il provoquait sur les filles. Il ne prenait pourtant pas particulièrement soin de lui. Mais, lorsque qu'il passait, des visages féminins s'attardaient à le regarder.

Duncan est quelqu'un de plutôt grand, il dépasse un mètre quatre-vingt. Il est aussi un costaud. Il fait toujours beaucoup d'exercice. En particulier de la natation et parfois un peu de quidditch. Il ne le fait pas pour que l'on l'observe. Il n'est après tout pas si narcissique. Il pense tout simplement qu'un peu de sport ne fait pas de mal. Il faut également que je parle de ses habits habituels. Lorsqu'il n'a pas à porter les ridicules habits qu'on doit porter comme uniforme à Poudlard, il porte un costard. Tout le monde le traite de fou. Mais que voulez-vous, il adore cette cravate qui entoure son coup, cette chemise blanche, ce veston qui le fait suer comme un malade durant l'été, mais qu'il ne peut plus me passer. Que voulez-vous, il aime avoir la classe.

Passons maintenant à la description de son visage arrogant. Visage qu'il a assez allongé. Ses oreilles sont assez petites ; un peu honteux, il les cache sous ses cheveux noirs qui sont souvent en bataille. Ses yeux bleus océans sont un peu sa fierté. Les gens font souvent remarquer sa couleur particulière. Et ça le fait toujours un peu rigoler. Pour ce qui est de son nez ; il est d'une taille dans la norme diront nous. Un peu aquilin peut-être. Tant qu'à sa bouche ; que dire d'elle. Elle est rarement fermée. Si Duncan ne parle pas (et c'est un grand bavard donc c'est assez rare), il se mets souvent à sourire. Un sourire sympathique dirons certain. Ceux qui le détestent diront que c'est un sourire sadique. Ils n'ont pas toujours tort.

❖ My character

Le caractère de Duncan est assez complexe. C'est quelqu'un qui ne manque pas d'ambitions. Cela apparaît comme une évidence. S'il a de nombreux amis, il sait bien que qu'il n'hésiterait pas à les abandonner s'il le faut. Quel qu'en soit la raison. Il aurait peut-être dû mal parfois, mais il sait bien ce que serait sa décision, au final. D'autres diront que ce qui fait sa plus grande force, c'est qu'il est extrêmement malin. Il arrive en effet à échafauder des plans qui sont à la fois étranges et intelligents. Les professeurs ont d'ailleurs toujours dit qu'il était quelqu'un de remarquablement intelligent dans ses bulletins, mais parfois, ajoute-t-il, une intelligence assez inattendue.

C'est un homme assez calme lorsqu'il est en public. C'est également quelqu'un de plutôt charmeur. Dernièrement, il avait fait un concours avec un ami ; obtenir le plus de rendez-vous possible avec des filles. Finalement, il a bien sûr gagné. Tout le monde le dit, son sourire charmeur fait succomber bien des filles. Mais il faut dire qu'il faisait ce pari avec un adolescent assez boutonneux, petit, rondouillard et roux... Bref, il a quand même réussit à obtenir deux rendez-vous en trois jours.

Pourtant, s'il est assez calme devant des gens, ce n'est pas le cas quand est seul. Quel que soit l'objet qui sera sous sa main, il le jettera à travers la pièce, le déchirerait si c'est du papier, la frapperait contre un mur. Il n'arrive pas en effet à contrôler ses émotions. Sous ces airs d'homme parfaitement posé se cache quelqu'un de plutôt dépressif. Il est probablement un peu suicidaire, la mort lui a déjà traversé l'esprit plus d'une fois. Il s'est déjà retrouvé en haut d'une tour de Poudlard. Et il regardait en bas. Et il avait envie de se laisser tomber, tomber sur le sol et mourir. Tous ces tracas de la vie s'envoleraient. Mais il se dit bien trop lâche pour faire face à la mort de cette façon. Il a peur de la douleur comme il aime cependant la créer. Combien de fourmilière ai-t-il détruite pour son propre amusement ? Combien de petits animaux ont subi le courroux de sa petite personne ?

Duncan est un homme extrêmement curieux. Quand quelque chose l'intrigue, c'est plus fort que lui, il faut qu'il sache, qu'il comprenne ce que c'est, ce que cela fait. Cela lui a attiré bien des ennuis. Et pourtant il continue à succomber à sa curiosité. Certain diront que c'est complètement stupide comme attitude. Duncan se dit qu'en général, ce genre de personne est assez coincé. Ils ne comprennent pas grand-chose. Il récite bêtement leurs leçons et leur vie s'arrête là. Si c'est cela que ces gens aiment faire, c'est leur vie après tout. Mais lui n'aime pas s'enfermer dans la routine. Un peu d'action et il se sent mieux.

Duncan n'est pas vraiment connu comme un élève particulièrement persévérant. Il cherche toujours le chemin de la facilité. En fait, en quatrième année, son professeur de métamorphose a dit dans son bulletin une phrase qui peut bien montrer cette facette de ma personnalité : « Élève assez sérieux et qui a de bonnes notes mais, semble être d'une persévérance sans faille pour paresser le plus possible ».

C'est un garçon mélancolique. Il aime bien jouer du piano. Et surtout écouter l'adiago de Gassenhauer de Beethoven. S'il se sent plus triste après, il se sent aussi un peu mieux après avoir entendu cette musique qui l'émut. C'est l'une des seules routines qu'il accepte de tolérer.

❖ Behind the computer Pseudo : Age : 100 ans ! Sexe : Homme =D Pourquoi ce forum : Parce que =D Présence sur le forum : Durant le temps scolaire: le week-end seulement Note sur /20 : Hum... Je sais pas... bon disons 18/20 x) Code du règlement : [Ok. Scorpius]