❖ Identity Card Scamander Lorelei... alias Rabbit Née en 2007 entourée d’un serpent et d’un lionceau : Age : 15 ans, il me semble… Année scolaire : 5e… Maison choisi : Serdaigle, je vous prie, en bonne intelectuelle. Baguette : 33,5 centimétre d’ébène, sculpté de runes mystérieuse, empreintes profondes, luisantes et argenté. Dans son étaux de bois se trouve deux choses bien distinctes : de la poudre, obtenu par unE corne de licorne, et le crin de cette animal féérique. Patronus : Corbeau Epouventard : Un miroir… Et alors ? Animal de compagnie : Une chatte au rayure noir sur fond d’argent : Chuppa. Avatar choisi : Molly Quinn

❖ It's her history

Peace and love, love and peace… Before Loony and co… :

Une vie des plus banales… pour quelqu’un qui vient d’un univers magique, c’est entendu.
Une naissance, des bobos, les premiers mots, les premiers pas, les premières gaffes infantiles, innocentes mais conséquentes ( Comme lorsqu’un gamin entend que machin couche avec machin qui est déjà avec truc et qu’il le répète à tout le monde…Vive les fêtes, réunions de famille qui révèlent par l’insouciance ce que l’on raconte dans notre dos.), des jeux et des conflits (Que voulez-vous, deux frères… C’est dur à supporter parfois…).
Pas grand-chose en soit… Sauf peut être quelques événements commun, qui peuvent paraître époustouflant comme cela, rédigé. Commun… bon, se faire trancher la gorge n’est pas commun, soit. Et être une sorcière, ce n’est pas commun non plus… pour les moldus, évidemment.

Chapter one :

Commençons par le commencement.
Sa mère est naturaliste, son père aussi… Tout baigne sur un nuage en forme de cœur composé de guimauve rose, sur lequel sautent avec la lenteur d’un astronaute de jolies nounours coiffés de chapeau de paille tressé, une bulle contenant de la citronnade dans laquelle des pailles sont enfoncé, le tout flottant dans les cieux infinis… Aahhh !... C’vous donne pas envie à vous ?

…Hrm… Fort heureusement, le mari comme la femme sont à peu près conscient de leur responsabilité : médecin, facture, école : il n’oublie (presque) rien.

Les trois petits Scamander avaient vécu entouré de créatures magiques diverses et variées, fait du aux activités professionnelles de leur géniteurs : malheureusement pour elle, Lorelei avait eu quelques différents avec un crabe de feu, un jour d’été chaud où elle s’était abrité sous l’ombre d’un auvent tout près des cages…

Peut être n’aurait elle pas du l’approcher de trop près… La curiosité, dans certains cas est un défaut… Et le destin n’avait pas tardé à le lui rappeler. Il se trouve que la brûlure que la créature lui a infligé à laisser des vastes marques rouges sur ses deux avant bras : malgré les pommades et les pansements, la blessure la tiraille encore si d’une quelconque manière sa peau est étirer.

Mais, le plus important dans sa vie, c’est la connaissance. Si elle est effacée, calme, dans la lune, c’est certainement à cause, ou grâce, cela dépend toujours des points de vue, à de la quantité de livres qu’elles dévorent.
En effet, sa chambre, celle qu’elle a chez les Scamander, est… assez… encombrée.
Les murs ? Des étagères, des étagères, des étagères, des étagères. Pas un pan n’est recouvert.

Très garnies.

D’ailleurs, elle possède aussi des étagères en suspensions, qui, accrochaient au plafond, encombrent tellement la pièce qu’il faut faire preuve d’une agilité sans égale pour ne pas finir cabossé : je vous laisse conclure à l’état de son front bleuie la grandeur de sa souplesse et de ses dons d’acrobate.

Chapter two :

Après l’enfance, l’adolescence…

Le jour de sa rentrée à Poudlard, elle avait eu peur. Non pas car elle ne savait pas si elle allait être dans la même maison de ses deux frères, non plus car elle appréhendait la longue séparation à ses parents qu’allait entraîner sa scolarité. Non, ce qui l’inquiétait véritablement, c’était qu’il n’y ai pas d’ouvrages nouveaux, qu’elle n’ait déjà lut, si ce n’est appris : finalement, ses inquiétudes se retrouvèrent soulagé : ceux qui se trouvait chez elle était certes nombreux, mais le contenu de la bibliothèque de l’école était si démesurée qu’elle se prit à douter d’un autres sujets : elle se demandait si, même elle, elle pourrait les consulter dans leurs totalités. A présent en 5e année, elle est sur la bonne voie : déjà 277 livres à son actif. En provenance de Poudlard. Si l’on ajoute ceux de l’extérieur… 421.

Oui, un véritable petit rat de bibliothèque… Tsss! Un rat c’est moche… Un corbeau de bibliothèque, c’est mieux !...

Ah, j’y pense… Parlons de sa rentrée, et arrêtons de nous perdre en chemin...

Rentrée, rentrée, rentrée… Excitation, hâte, nervosité…

Elle était restée avec ses deux frères. Ou plutôt, elle les avait collées. Lorcan avait été gentil, protecteur, rassurant, compréhensif, et avait accepté qu’elle reste près de lui, dans le même compartiment pour le train, dans la même barque, à ses côtés dans le rang qui les menait à la grande salle, et il avait joué des coudes lorsqu’elle avait été appelé par le choixpeau afin d’être au premier rang pour la soutenir, car cette terrible et terrifiante épreuve, était redouté de tous ; oui, on ne peux plus angoissant : elle consistait à se faire poser à un chapeau sur la tête. Mouais, dit comme ça, cela n’avait pas l’air très impressionnant. Formulez autrement, cela donné : « Cette étape décidait de votre vie, y compris des sept longues années de votre scolarité, de vos fréquentations, cela vous influençait pour toujours, cela écrivait votre histoire. En gros, si le choixpeau se trompe… Oups. »

Lysander avait été plus distant, et même si il acceptait qu’elle demeure près de lui, il avait assez l’air de s’en moquer, trop préoccupé, car l’esprit embrumé par la fièvre de l’ambition. Pour lui, Poudlard ne signifiait pas que la connaissance, comme sa sœur… Pour lui, ce château était une possibilité de faire ses preuves, de grandir en puissance, de s’asseoir sur un trône de supériorité spirituelle et physique… Du moins, c’est ce qu’elle pensait. Elle réussissait parfois à se persuader de la véracité des histoires qu’elle inventait, alors, elle avait toujours un doute… Réalité ou rêve ? Dans cette situation en particulier, elle préférerait que ce soit des affabulations créé par son esprit dont elle pensait être malade… Lysander était son frère. C’était une partie d’elle… et le total inverse. Elle l’aimait, mais elle en avait peur… elle ne savait que penser de ses réactions. Elles étaient si différentes des siennes… Il était allé à Serpentard, ce qui ne fut pas une réelle surprise.

Lorcan, celui de ses deux frères qui lui inspirait le plus confiance, se rendit à Gryffondor ; cette fabuleuse maison, déjà célèbre pour les grandes qualités idéologiques de ses élèves, courageux, forts, humbles, c’était vu prendre une valeur excessivement haute depuis que le renommé Harry Potter avait vaincu le terrible Mage Noir. Alors, elle en était fière de son Lorcan. Aller dans la maison des héros, c’était cool, songeait-elle.

Et Lorelei, en bonne intellectuelle, c’était vu envoyé à Serdaigle, la maison des âmes cultivées. Cela ne l’avait pas étonné, bien qu’elle fût déçue que le trio Scamander ne soit pas réunis. Fort heureusement, ils pouvaient toujours se voir lors de certains cours qu’ils avaient en commun, lors des interclasses, des repas, des vacances…

Chapter three :

Sa scolarité c’était bien déroulé. Elle n’était pas très sociable, mais elle était parvenu à se faire quelques amis, ses notes étaient plus qu’excellente, et malgré qu’elle est été vite fiché comme étant extravagante, faute à son caractère totalement effacé, dans la lune, elle s’amusait à jouer de son originalité, s’affichant avec des vêtements pour le moins spécial, dans le même genre que sa mère, en un peu moins poussé dans l’étrange, tout de même.

Deux seuls nuages dans le ciel paisible de son existence : le premier, son frère, qui changeait. Elle ne le considérait plus comme son « jumeau ». Il l’inquiétait, elle avait l’impression qu’il vieillissait trop vite, si bien qu’elle l’apparentait à présent à un grand frère, qui serait très âgé, adulte. Près de lui, elle avait l’impression d’être une gamine idiote, profane, immature, et cela la gênait profondément, si bien qu’elle fuyait sa compagnie… ou, plus justement expliquer, elle avait décidé de ne plus chercher désespérément sa compagnie, car ce n’était certainement pas lui qui la courserait partout pour jouer aux bavboules…

Deuxième point noir, une Serpentard qui avait une ou deux dents contre Lorcan, une certaine… Angela Stevenson, qui lui lancer des regards de la noirceur des abysses… Mais Lorelei n’en était pas effrayé… Elle en était blasée… Comme la majorité des gens, elle était différente d’elle… Elle ne comprenait pas que la haine ne servait à rien qu’à sacrifier son âme sur un hôtel de vengeance, que cela ne servait qu’à tourmenter son esprit, rendre désespérées, folles et irréfléchies ses actions, -briser le miroir, faner la fleur, éteindre la lumière-.

Elle aurait du savoir, s’y attendre, prendre ses précautions, comprendre à temps que le monde était cruel et intransigeant.

...Car cette fille lui avait tranché la gorge.

Ce seul souvenir la rendait nauséeuse, la rendait si nerveuse qu’elle en faisait des crises d’angoisses, dans les premiers moments après l’agression. Ensuite, elle avait été harassée de chagrin. Tout ce dont elle croyait, son petit monde de bisounours c’était écroulé.
Elle était maintenant en colère. Contre tout le monde, contre sa vie, contre elle-même, contre sa naïveté, contre le fait qu’elle avait été totalement impuissante quand la lame, froide, avait cisaillé sa peau, trancher ses veines, alors que sa propre âme se déchiquetait, se réveillait, trouver la pièce manquante du puzzle de son existence. La force, la cruauté, était indispensable.
Elle avait durci après ses événements. Elle avait gardé sa façade de calme, mais avait ajouté un peu d’assurance à ce masque. Sous la carapace, elle été si effrayait, si fragile… Elle comprenait que la vie ne tenait qu’à un fil. Qu’il fallait se protéger à n’importe quel moyen possible. Que pour sa survie, pour ses idéaux, elle devait être impitoyable, ne plus pardonner à ceux qui lui faisait du mal.
Ce miroir brisé se reformait, mais les morceaux de verre ne se replaçait pas à l’endroit adéquate. Autrefois une surface lisse et réfléchissante, elle était striée de longs sillons, d’aspérités qui déchiraient, déformaient l’image qui se reflétait sur le miroir, et elle savait que son âme garderait pour toujours ces stigmates, ces cicatrices, qui au même titre que la longue trace rouge qui recouvrait sa gorge, laisserait pour toujours une marque, un souvenir douloureux, troublant, pour le moins réformateur, de son passage. Cette fleur parfaite aujourd’hui fanée, avait été remplacé par des orties, entortillées dans une rose rendue rouge par son sang versé, les pétales rongés, les piquants dangereux hérissés. La lumière qui avant éclairait sa vie c’était rallumé, brûlante, un feu destructeur qui à contrario la consumait.

Cela lui faisait peur, si peur, de changeait ainsi, peu à peu… Mais elle le devait. Elle devait se protéger. Elle voulait vivre. Être quelqu’un. Quelque chose de plus fort, de plus important, de plus vivant, et combattif. Et même si il lui arrivait dans des éclairs de lucidité de se trouver ridicule de se névrosé ainsi, elle finissait toujours par se convaincre que c’était le bon choix. Après tout, elle sentait qu’il se tramer des choses guère reluisantes dans le monde des sorciers. Oui, quand des étudiants commencent à s’entretuer, c’est qu’il se trame quelques événements sombres. Vous ne croyez pas ?

❖ Her physical

Signe de sa parenté au Lovegood? Des yeux bleus intelligents, mais un peu (pardonnez moi de l’expression) paumés, un beau sourire, un regard rêveur, si ce n’est agar… Mais à cause, ou grâce, cela dépend du point de vue, à/de son père, ses cheveux autrefois d’une teinte si clair qu’il semblait blanc, ont à présent tellement foncé que leur couleur est devenue rousse, d’où son surnom… Rabbit… Il lui descende jusque sous les omoplates, et leurs légers arrondies font sa fierté.
Elle possède un joli nez assez fin, un peu rond, des pommettes toujours rougissantes, ce qui est très voyant, étant donné la grande pâleur de sa peau. Un peu de mascara, comme la majorité des filles de son âge, mais pas en très grande dose : lorsqu’elle en applique trop, elle semble soudain se transformer en raton-laveur… sans qu’aucun sort de métamorphose, voyons l’avantage, lui est été jeter.
Sa bouche, aux jolies courbures, est bien remplie, rose, fait de malicieuses fossettes en souriant : magique d’après les témoignages des très rares garçons ayant eu l’occasion de l’embrasser… mais ils disent tous ça !... (Bon ok, il n’y en a eu qu’un… Mais que voulez-vous, c’est une éternelle individualiste...).

Elle est petite, soit un mètre soixante sept (les gens sont de plus en plus grand, vous ne trouvez pas ?), mais sa croissance n’est pas terminer, donc elle ne se décourage pas.

Elle a, sur son coup une longue trace rouge, à peine effacée, qu’elle tente de cacher avec des écharpes ou des foulards ; en été, elle utilise des colliers (Vous savez? Les trucs serrés en tissus… un bonbon pour celui qui trouve le nom de c’truc !), qui camoufle cette sinistre cicatrice, souvenir d’un passé lugubre, d’une mauvaise rencontre… (ANGELA !!!!!!!!!!!... ^^).

Pour en revenir à son corps, elle est fine, à quelques tâches de couleurs par-ci par-là… Et est très souple et agile, héritage de huit années de danse classique.
Elle porte tout les jours, à même du mal à s’en séparer pour la nuit, des boucles d’oreilles. Aussi extravagantes que ces vêtements, soit colorés, soit sombres, elles sont si variées, belles et originales qu’elles sont devenues sa marque de fabrique.
Evidemment, il n’y a pas que les boucles d’oreilles, mais toutes sortes d’accessoires ; néanmoins, sa plus grande caractéristique est les… cache-coups (si je puis dire) dont j’ai parlé précédemment….

❖ Her character

Ce que vous diriez :

Lorelei… Une vie. Simple. Comme tout le monde. Une jeune femme souriante. Heureuse.
…
De qui vous vous foutez… ?

Ce qu’elle est réellement ? Un miroir. Incomplète, elle a besoin de quelqu’un à ses côtés pour exister. Elle a besoin de l’approbation des autres, besoin qu’on lui dise que ce qu’elle fait est bien. Mais un miroir a deux fonctions. La première, celle de l’image qu’il peut vous renvoyais. La deuxième, celle du verre dur et coupant, qui fait goutteler votre sang.

Pourtant, elle aime la solitude, et reste souvent seule, pour réfléchir.

Une fleur qui refuse son eau, en soit. Une individualiste dépendante d’affection et d’entourage.

Elle est très influençable, très discrète, très timide. Tellement que l’on peut avoir du mal à croire, ou plutôt avoir des doutes quand à sa parenté avec les Lovegood, eux, si excentrique, elle, si effacée.

Du moins, l’on peut douter de cela lorsqu’on la voie de l’extérieur. Approcher vous d’elle, et elle s’éveillera. Vous vous rendrez compte de son excentricité quand à ses idéaux, ses goûts, ses préférences, ses activités, ses œuvres artistiques, et, bien évidemment, à ses connaissances en matière de Ronflaks Cornus, de Joncheruines, de Nargoles, d’Héliopathes, de Tranchesac Ongubulaire, de Larves d’Aquavirius et d’Enormus à Babilles ou autres créatures et objets divers, variés, rares ou inexistants.

Elle dit tout ce qu’elle pense, ses impressions, sa philosophie… Lorsqu’on commence à la connaître, elle devient très ouverte, et cela est aussi son défaut : naïve, elle ne comprend pas que les gens puissent être différent qu’elle, fourbe, sournois ou mesquin.

…Oui, elle est une fragile rose qui éclos, curieuse et ignorante de la société qui l’entoure. Mais, n’oublions pas… qu’une rose à des épines.

Autrefois profane, éloigné des autres, elle découvre en ce moment même l’humanité telle qu’elle l’est. Ce qu’elle voit ne lui plaît pas, du tout. Alors sous son enveloppe corporelle délicate, des pensées fielleuses pousses comme du lierre dans son âme, s’entortillent entre les branches de sa raison, tue sa sainteté d’esprit, puise ses forces de son bon sentiment, anéantissent son cœur.

Alors, oui, elle a l’apparence fragile, est calme et réservée, mais si vous faites bien attention, vous verrez luire dans ses iris la force d’un ras de marée. Eux, si bleus et froid, vous glaceront au plus profond de vous-même, si vous osez être désagréable avec elle, moqueur, prétentieux, irascible et surtout, surtout misogyne.

Alors, êtres inférieurs, ne chercher pas à la faire descendre de son piédestal rêveur, de sa tour impérial, solitaire et spirituelle : sa connaissance en sortilèges et potions risquerais de vous surprendre à vos dépends.

Après tout, comprenez-la… C’est votre société qui a brisé ce miroir, asséché cette fleur de perfection, éteint cette lumière.

Et, une ampoule, lorsqu’elle est cassée, que fait elle ? Ses débris se recroquevillent en son sein… Gare à celui qui y mettra la main.

❖ Behind the computer Pseudo : Tiva Moyara Ellëborf Stergima-D'Enato... Hrm... Age : 13 ans… Lorcan dit qu’j’suis une des plus jeunes… Il ment, rassurez moi… ? Sexe : Hum… féminin, pourquoi faire ? :suspect : Pourquoi ce forum : Parce que j’en rêve depuis qu’ma cousine m’a montrer un fow’ HP… et parce que Lorcan me l’a demandé. Présence sur le forum : … Pauvre de vous. J’ai lu dans le règlement qu’une absence d’une semaine devrait être signalée sans quoi il y avait un risque de suppression… alors avec le boulot que les profs me donnent… J’donne pas cher d’ma peau. Non… plus sérieusement, j’serais là au meilleur là une fois par jour, ou un jour sur deux. Pour le week-end… geek moi être. Soit co’ de 9h à 22h non stop XD ! Note sur /20 : Attendez un instant… faut que je trouve mon bouquin « NOTATION pour les nuls »… Oups, désolé, j’l’ai paumé. Alors, sans remarque constructive et en toute mauvaise foi… 20/20 Code du règlement : Ok. Bubus.